Commentaires

« ALAFU »

Coucou Ramon et bravo !  

Je voulais t’appeler pour te complimenter mais je m’aperçois que je n’ai pas ton tel. Les morceaux sont toujours très originaux, drôles, pertinents, décalés… Les orchestrations sont excellentes et tu as une voix de jeune homme (qui chante super bien !) Bref je trouve que c’est une réussite. Ça sonne ! J’aime beaucoup Je promène mon chien La petite mort  Centre de gravité Quand je rêve… c’est de toits ! Le quatuor silencieux.. Très drôle! Ca m’a fait plaisir… idem ! Je trouve que c’est très abouti, musicalement et dans l’écriture. 
Merci beaucoup pour ce cadeau ! A bientôt j’espère Bises  

Didier Bénureau le vieux clown

Qu’on se le dise, Monsieur Ramon Pipin nous fait l’honneur d’un nouvel album fraîchement pressé et ça c’est bien plus qu’une bonne nouvelle par ces temps moroses.

Excellente surprise, il s’agit une fois de plus d’un petit bijou dans lequel sont mises en mots des belles tranches de vie, histoires d’amour, d’humour, d’humeur, souvent vaches mais tellement jouissives.

Les musiques qui accompagnent les textes ne sont bien entendu pas en reste. Mélodies inspirées et imparables, subtils assemblages de sons et d’instruments, magnifiques arrangements, tout concours à faire de « ALAFU », puisque c’est son titre, un disque hautement recommandé à celles et ceux qui aiment la « Chanson » de « Qualité » avec un grand « C » et non pas un gros « Q ».

Il se dit que tout est bon dans le cochon, en parallèle j’affirme que tout est bon dans cet ouvrage, jusqu’au livret qui est beau.

Alors pourquoi se priver du plaisir de se faire plaisir……..

Thierry Wakx

Bonjour Alain,

Juste un petit mot pour vous féliciter de ce nouvel album dont je me régale, par avance, de sa dégustation. J’en ai également offert un à mon cher papa qui aime tant votre musique et votre univers depuis bien des années.

Encore bravo et merci pour votre créativité et votre sens de la bonne musique, c’est une denrée précieuse en cette époque bien étrange que nous vivons.

Petite anecdote sur le fait de promener son chien : l’an passé je me baladais vers Saint Sulpice avec ma  maman et nous sommes tombées par hasard sur la mère de cette chère Charlotte dont la musicalité semble vous fasciner, en train de ramasser les cacas de son gros bouledogue anglais ou autre d’ailleurs. Un grand moment !

Très bonne soirée et continuez, nous adorons ce que vous faites.
Amicalement 

Julie Ducamin

J’adore ! On en parle dans les jours qui viennent.
Love mon Pipinou

Antoine de Caunes 

Cher Ramon, Cher Pipin, Cher Alain, Cher Ranval, chers vous 4,

Ordi réparé depuis ce matin, par un génie, ouf, j’ai récupéré le son, on se sent mieux, je te dis pas.

J’ai donc pu écouter, déconfiné mais non déconfit, ton album de confiné.

Et ça m’a plu. Du pur Pipin. Je retrouve dans tous les titres ce qui fait ta personnalité et qui fait que tu ne ressembles à aucun autre. Est-ce cela la marque des grands ?

C’est toujours bien écrit, assez rigolo parfois (mais pas que), et musicalement ça tourne rond.

Mes trois préférés (des titres, d’où le masculin pluriel, si ça avait été les chansons, j’aurais écrit « préférées », faut pas croire) sont « Je promène le chien », parce que des images navrantes de promeneurs de chiens me viennent, il faut dire que je déteste les chiens. « La petite mort », sans doute la plus émouvante. Et « Quatuor silencieux », la plus inattendue, gonflée, drôle, inventive.

Certains titres m’ont donné l’impression de se ressembler un peu. Mais c’est normal, ça fait souvent ça après une première et seule audition.

Vivement le CD, que j’écouterai à fond dans ma voiture, les automobiles étant, à mon goût, les meilleurs endroits pour écouter de la musique, on peut mettre fort sans déranger personne (à condition d’être seul au volant), et en plus le paysage défile.

Bravo et merci pour cette avant-première.

J’espère que tout va bien.

Amitiés,

Patrice Leconte

Reçu avant-hier (mais j’avais déjà la version mp3). C’est beau ! À écouter religieusement dans la zénitude. Chaque texte est une petite histoire originale et on se délecte d’en découvrir le phrasé; quant aux orchestrations, c’est top, parfaitement chiadé et ciselé; c’est quand même autre chose que les rappeurs aboyant et gesticulant ou les chanteuses nasillardes à la voix d’asthmatiques en rut.

Hubert Beaubois

De la bien belle ouvrage comme on dit. Je ne m’en lasse pas. Un grand bravo pour le mixage. C’est de la dentelle de Calais qui sentirait un peu le slip et ce commentaire n’a rien de péjoratif, bien au contraire. Merci pour les aboiements de « je promène mon chien », mon chien adore, il se laisse prendre à chaque fois.

Gilles d’Arrée

Qu’il en soit conscient ou non, Ramon Pipin est de moins en moins cynique.
Toutefois, il ne tombe jamais dans le cucul ravi même si parfois une écoute distraite trop rapide pourrait le laisser penser.
Souvent chez Pipin, les textes sont à plusieurs niveaux de lecture.
Il faut être attentif, malaxer le subtile, gravir l’escalier jusqu’au onzième marche après marche, observer attentivement sans se laisser distraire!
Avec ce nouvel album, c’est un peu comme retrouver la joie de rentrer ventre à terre avec un 33T volé au Prisunic du coin, et en savourer lentement chaque seconde interdite…
« Je promène le chien » est un titre phare, un tube d’ouverture d’album doux et acide qui pourrait cartonner…mais je m’emporte!
De quoi?…une chanson sur les états d’âme d’un chien et de son maître?
Et c’est quoi ce riff de guitare qui grince comme une machine folle de Petr Välek?
L’excellent guitariste Brice Delage a la fantaisie qu’il faut pour apporter le grain de folie nécessaire aux compositions de Ramon Pipin.
C’est d’ailleurs à croire qu’ils y prennent goût puisqu’ils en sont je crois à leur deuxième collaboration réussie!
Musicalement, on est dans le sublime, je ne suis pas un professionnel mais je le sens bien: le travail sur ce morceau est d’une grande maîtrise, mais une maîtrise qui sait se lâcher!
Ramon Pipin n’est pas à la recherche de la perfection, même si ses compagnons musiciens sont des pointures respectées.
C’est juste un artisan méticuleux!
Le texte, lui, peut sembler simpliste mais c’est un leurre…
Ramon nous dit des choses profondes avec sa légèreté apparente et son air de ne pas y toucher!
Cette chanson est bien placée sous le signe de l’amour!
« Il promène le chien
Ils vont main dans la main »
« Qu’importe le reste
Je promène le chien »
Dans un monde en cours de désintégration, Ramon Pipin nous dit: je ne participerai pas à la grande destruction, la seule chose qui m’importe, c’est la beauté de l’amour!
Mais je le connais, le bougre pudique, il vous dira qu’il parle juste d’un mec qui promène son chien!
Pourtant, c’est presque l’hymne à l’amour de Piaf!

Zeuhl Wörtz

Alors aujourd’hui, dans ma boite aux lettres, y-avait une belle petite pochette toute foncée. Dessus, deux jolis timbres, un avec un beau bateau toutes voiles dehors pour inciter au voyage sans doute, ou à la pêche aux harengs comme indiqué, et l’autre une chouette pour annoncer la couleur probablement. A l’intérieur l’objet du délire, quelle belle pochette, et puis un petit carton d’invitation à l’écoute. Sais pas si tu t’es trompé de route comme David Vincent en cherchant un raccourci qu’il n’a jamais trouvé, mais moi je trouve que celle que tu as empruntée, ne la rend jamais, garde là, elle mène si ce n’est au succès, à l’excellence, pour l’inventivité, sans oublier le boulot effarant pour que tout tombe pile poil, à pic, de telle manière que ça semble évident alors que pas du tout, c’est le résultat de pointilleux et remarquables efforts. Grandiose…

Michel Maillot

Excellent album…extremement bien produit…tres beau son…et du PIPIN tout craché…on lui souhaite une longue route…;)

Pan 360 (Québec) ALAFU constitue un recueil souvent cocasse, parfois grinçant et toujours captivant de Ramon Pipin, virtuose du verbe et homme-orchestre méticuleux

Pinhas Richard

Avec Alafu, Ramon Pipin signe un sixième album solo aussi curieux qu’indispensable.

Ceux qui savent, savent. Cette phrase, mille fois entendu, ne s’applique jamais mieux qu’à Ramon Pipin, ci-devant musicien, compositeur, arrangeur, auteur (et sans flagornerie aucune, on pourrait ajouter l’adjectif génial). Et pour cause, le nouvel album de l’ex-Odeur et Au bonheur des Dames, qui fait les beaux jours de Facebook avec ses parodies de tubes jouées exclusivement au ukulele, est pertinent, ancré dans son temps, racontant une époque et un acuité rare (et peut-être à cause de ses nouvelles lunettes) et qui réussit le double exploit de vous filer la banane tout en vous désensablant les portugaises trop encombrées de nouvelles sordides et de sons pas frais.

Car oui, en onze titres seulement, le sixième opus en solo de Pipin saura vous vider la tête de trop de télé : sa manière de narrer unique sur fond de rock’n’roll high-class est à tellement d’années lumières des prods actuelles, fait que, forcément, cet album se distingue.

Car outre l’humour à toute épreuve, les descriptions des travers quotidiens racontés avec un second degré manié en virtuose sont esclaffantes, le fond rock domine. Et quel fond ! Des clins d’œils aux sixties aux prods rock des années 2000, les références sont multiples, et le mix réalisé au mythique studio ICP de Bruxelles, renforce évidemment ce que le marketing qualifierait “d’expérience Pipin”.

Oui, c’est toute une expérience, du groove infectieux de “Je promène le chien” qui ouvre Alafu, à  “Coprolithe Pour des temps incertains” qui le clôt et qui, en 2’03, voit le musicien multitâche rendre un hommage appuyé au célèbre 4’33 de John Cage, le voyage dans le “monde-à-Pipin” se mérite, et s’affirme comme le vrai retour au déconfinement. Car Pipin, lui, l’est totalement et définitivement.

Rolling Stone 

« Qu’est-ce que c’est beau ! »

Je connais les paroles par cœur, c’est le seul CD dans ma voiture et mes petits enfants fredonnent aujourd’hui tes chansons après que leur merlefit (c’est plus joli écrit comme ça.) Elle fredonnait au début des eighties « vilain petit zoziau » ce qui bien sûr choquait beaucoup sa vieille grande tante qui ne rêvait que de se réincarner en vilain petit zoziau.
Amitiés !

L’album est génial et correspond à ce que j’attendais. Jamais déçu depuis la sortie du LP « Twist » jusqu’à maintenant. 

C’est un bien bel ouvrage !

J’ai bien reçu le cd. Je l’adore

Pour mon plus grand bonheur ! Qualité des arrangements,  textes subtils et bourrés d’humour. Je ne m’en lasse pas. 

Ecouté du matin au soir:)

Pour rien au monde je ne le rendrai, son écoute me fait trop de bien. 

Ton chef d’oeuvre tourne en boucle dans ma Dacia…

Ton album est bien a sa place dans ma CDtheque. J’en profite pour te féliciter de cet opus qui me fait toujours marrer quand je l’écoute

Je l’écoute très souvent !

(MA petite fille de 9 ans adore « la chanson ennuyeuse » !! et la vidéo avec Francis Kuntz, c’est génial 🙂 Je fais écouter « Je ne parviens pas à jouer convenablement le blues » à tous mes potes musiciens, elle est superbe (et le solo de guitare (le vrai, pas les tiens (ahahahaaha!!) me fout les poils à chaque fois !)) 

Je l’ai encadré façon disque de platine !!!

Un régal…

Non seulement je l’ai reçu, mais ecouté et réécouté.. 😀

Rendez vous pour le prochain…

« Comment éclairer votre intérieur »

Le nouvel album de Ramon Pipin est un modèle de pop élégante et sophistiquée (avec de vrais instruments, dingue) sur laquelle se couchent des textes tordants. Voir hautement revendicatifs. (Une ode au velours côtelé!). Il signe son meilleur disque et ne s’est pas assagi. On aime.

Mathieu Alterman ~ Journaliste

J’aime bien Ramon Pipin. Il chante très bien -il est musicien- ses compos sont originales, ses textes sont marrants et ses arrangements ont le groove ou la patate si vous préférez. 
Sur scène Ramon est drôle et dansant malgré qu’il soit assis pour jouer de la guitare. Vous me direz, mais est-ce qu’on peut rire de tout en dansant ? Oui, bien sûr mais pas en dansant avec n’importe qui. 

Luis Rego 

J’écoute le dernier opus de Ramon Pipin Band qui s’intitule « Comment éclairer votre intérieur ».
Sorte d’objet dada indispensable. C’est rare de rigoler en écoutant de la musique. Ramon Pipin, dans un accès de modestie, m’avait dit « ce cd, vous pourrez l’écouter dans un premier temps puis l’utiliser comme sous-verre. » 
J’attendrai au moins quelques semaines avant son deuxième usage. 

François Morel 

« Comment éclairer votre intérieur », l’album de @RamonPipin est tout simplement dément.

Nicolas Saada (réalisateur) 

Sur scène, les frontières du concert sont rapidement abolies pour entrer dans un spectacle total qui relève du show. Le show Pipin, naturellement ! Au programme musique, sketchs, introduction humoristique, parodies, pensées du maître, et « twong », contraction de tweet et de song, chanson en 140 caractères.. La version française du Haîku (vert ou rouge, c’est selon) en quelque sorte. Ramon Pipin c’est tout cela mais encore plus ! Des albums truculents (ce qui n’est pas un gros mot), un humour et une inspiration jamais au rabais. 

Franck Talleux 

 Là, il est 15h et des brouettes, j’en suis à ma 4ème audition, et à chaque fois ça me plaît un peu plus.
C’est bon signe. Tu imagines quand je t’écouterai pour la 60ème fois? Un truc de dingue.
Je pensais que musicalement ça n’était pas très inventif. J’avais tort.
Je trouvais que les textes étaient faciles. J’avais tort.
Et d’écouter attentivement prouve que les textes sont, justement, inattendus et bien écrits 

Patrice Leconte 

Tu réussis le tour de force d’allier l’humour à l’excellence musicale, exercice oh combien périlleux. En plus, il y a des mélodies qui collent aux oreilles comme si on les connaissait depuis des années. Je sais, c’est un peu laudateur mais j’assume.

Eric Hauswald – France Inter 

Encore bravo pour ton formidable concert! Les textes, la musique Une réussite! 
C’est drôle, original, délicat, provocateur ! Bref c’est très fort.

Didier Bénureau

Génial le dernier album de @RamonPipin jetez vous dessus.

 Laurent Baffie 

Même que je suis en train d’écouter le CD et qu’il est vachement bien !! 

Guillaume Meurice